En France près de 41% des rations vaches laitières contiennent plus de 25% d’herbe.
L’herbe est utilisée sous différentes formes : en vert (pâturage, affourragement) ou conservées (ensilage, foin, enrubannage)..
Ce constat s’explique par la volonté des éleveurs à mieux s’armer face à la volatilité du prix du lait et des aliments. L’herbe est aussi une réelle opportunité de renforcer l’autonomie protéique, pour trois éleveurs sur quatre. Cependant, elle n’est pas sans risque et nécessite des réajustements au niveau de la ration.
L’herbe est une source de matières azotées pour les vaches laitières. Plusieurs paramètres influencent sa valeur alimentaire :
Connaitre ces paramètres ne suffit pas à bien exploiter et valoriser l’herbe : il faut prendre en compte les risques liés aux excès d’azote soluble ou de certains minéraux et à l’augmentation de la teneur en acides gras insaturés.
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